La cause soudaine de la Première Guerre mondiale, 1914-1918, fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.
Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s'élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Les Alliés de la Première Guerre mondiale (France, Empire Russe, Empire Britannique, Italie, États-unis) comme les Empires centraux (Empire Allemand, Empire Autriche-Hongrie, Empire Ottoman, Royaume de Bulgarie) perdent approximativement plus de neuf millions de vies chacun.
La cause soudaine de la Première Guerre mondiale, 1914-1918, fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.
Les pertes humaines de la Première Guerre mondiale s'élèvent à environ 18,6 millions de morts. Ce nombre inclut 9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils. Les Alliés de la Première Guerre mondiale (France, Empire Russe, Empire Britannique, Italie, États-unis) comme les Empires centraux (Empire Allemand, Empire Autriche-Hongrie, Empire Ottoman, Royaume de Bulgarie) perdent approximativement plus de neuf millions de vies chacun.
Le 1er septembre 1939, l’armée allemande envahit la Pologne déclenchant la Seconde Guerre mondiale. En réponse à l'agression allemande, la Grande-Bretagne et la France déclarent la guerre à l'Allemagne nazie. Les USA rejoindront ce conflit, après l’attaque de Pearl Harbour par le Japon, soit le 08 décembre 1941.
Bien qu'il soit difficile d'établir un bilan précis des pertes humaines de la 2e guerre mondiale, on estime que ce conflit a fait 40 à 60 millions de victimes, c'est-à-dire 4 à 5 fois plus que la 1ère guerre mondiale. La 2e guerre mondiale, 1939-1945, a duré près d'un an de plus que la 1ère grande meurtrière de 14-18.
En 1950, la Corée du Sud fut envahie (Cassus Belli) par la Corée du Nord soutenue par l’URSS, la Chine de Mao et le Bloc de l’Est. On estime que le conflit en Corée (1950-1953) a fait plus de 800 000 morts parmi les militaires coréens, nordistes et sudistes et 57 000 parmi les militaires des forces de l'ONU. Le nombre de victimes civiles est estimé à 2 millions et le nombre de réfugiés à 3 millions.
Du 1er novembre 1954 au 05 Juliet 1962 eut lieu sur le territoire Français d’Algérie, la guerre d'indépendance de l'Algérie, colonie française depuis 1830 divisée en départments en 1848. Opposant la France aux nationalistes Algériens. Elle se termine par la reconnaissance de l'indépendance, validée par une large majorité lors d'un référendum populaire et la victoire politique du Front de libération nationale.
Selon les historiens Français, on estime qu'environ 250 000 Algériens sont tués dans cette guerre dont plus de 140 000 combatants ou members du FLN avec jusqu'à 2 millions de déplacés sur une population de 10 millions. Près de 25 000 militaires Français sont morts et 65 000 ont été blessés. Les victims civiles d'origine européenne dépassent les 10 000 dont un millier en France métropolitaine. Le conflict débouche, après les accords d'Évian du 18 mars 1962, sur l'indépendance de l'Algérie le 3 Juliet suivant, precipitant l'exode des pieds-noirs, et des Juifs, ainsi que le massacre de cinquante mille harkis.
(Harkis étant des algériens de confession musulmane, partisans des Français)
Selon l'Algérie, il y eut 1,5 million de pertes algériennes. Pour la France plus de 250 000 pertes algériennes (y compris civiles) 1 000 000 d'Européens contraints de fuir l'Algérie. 2 à 3 millions d'Algériens deplacés.
La guerre du Viêt Nam trouve son origine dans la guerre d'Indochine (1946-1954), conflit qui opposa la France au Việt Minh, fondé et dirigé par le leader révolutionnaire Hô Chi Minh.
De 1955 à 1975 au Vietnam, les pertes militaires communistes (du Nord) soutenu par l’URSS, la Chine de Mao et le Bloc de l’Est, ont été estimées à près d'un million, tandis que les pertes américaines se sont élevées à un peu plus de 58 000, sans compter les quelque 300 000 soldats sud-vietnamiens morts. Entre un demi-million et deux millions de civils ont également péri.
Le 20 septembre 1980 l'Irak attaque, sans avertissement formel, en bombardant des bases aériennes iraniennes, pénétrant sur le territoire iranien deux jours plus tard, le 22 septembre 1980. L’invasion irakienne (Cassus Belli) marque
le début de la guerre Iran-Irak qui durera jusqu’au 20 août 1988, sur les lieux de l’Iran, de l’Irak et du golfe Persique.
Lié aux litiges frontaliers opposant les deux pays, ce conflit est également dû aux appréhensions des conséquences de la révolution iranienne de 1979 qui porte l'ayatollah Rouhollah Khomeini au pouvoir à la suite du Shah d’Iran. Le gouvernement sunnite irakien de Saddam Hussein arrivé au pouvoir en 1979, craignait que cette dernière, la révolution iranienne, n'attise les desseins révolutionnaires de la majorité chiite longuement réprimée. Le conflit s'explique également par la volonté de l'Irak de remplacer l'Iran en tant que puissance dominante du golfe Persique.
L'Irak reçoit le soutien d'une grande partie de la communauté internationale, notamment des soviétiques, ainsi que de nombreux pays occidentaux et arabes. C'est en particulier le cas de l'URSS, de la France, des États-Unis, de l’Arabie Saoudite, du Koweït, de l’Égypte… L'Iran demeure quant à lui largement isolé tout au long du conflit à part Israël et moindrement la Syrie… Après huit années de guerre, la lassitude du conflit qui s'installe, associée à la dégradation rapide des relations entre les États-Unis et l'Iran, mais aussi au déclin du soutien de la communauté internationale pour l'Irak, mène à l'acceptation d'un cessez-le-feu négocié par l'ONU. Le conflit se conclut de fait le 20 août 1988, par un *statu quo ante bellum*, les deux pays acceptant de revenir aux accords territoriaux d'Alger du 06 mars 1975, signés entre l’Iran et l’Irak.
Au total, les dépenses militaires, pertes en produit intérieur brut et capitaux non investis auraient dépassé 500 milliards de dollars pour les deux pays. L’Iran estime officiellement à 300 milliards de dollars le prix de la reconstruction de son économie. L’Irak, pour sa part, l’évalue entre cinquante et soixante milliards de dollars.
Les estimations des pertes en vies humaines sont de 300 000 à plus d'un million de morts iraniens et de 200 000 Irakiens, ce qui est très élevé pour un conflit régional. En Iran, lors de commémorations, les politiques et associations d'anciens combattants évoquent toujours le chiffre d'un million de morts, dont une grande partie des pertes étaient constituées de mineurs, de moins de 18 ans. L'Encyclopædia Universalis avance le nombre d'1,2 million de morts.
Pour l'historien Pierre Razoux, le nombre d'un million de morts est surévalué. Selon lui le conflit aurait fait 680 000 morts, dont 480 000 Iraniens, 150 000 Irakiens et 50 000 Kurdes.
L’Attentat du 6 avril 1994 au Rwanda entraîne la mort de Juvénal Habyarimana président du Rwanda, et de Cyprien Ntaryamira, président du Burundi. Il est perpétré au-dessus de l’aéroport de Kigali par le tir d’un missile contre le Falcon 50 présidentiel qui transporte les deux chefs d’État. Provoquant également la mort des dix autres occupants de l’appareil. C’est la première phase d’un coup d’État qui déclenche le massacre des partisans des accords d’Arusha, le génocide des Tutsis et la reprise de la guerre civile.
Du 7 avril au 17 juillet 1994 se déroule au Rwanda le génocide des Tutsis. Projet de massacre de masse latent depuis plusieurs décennies dans le refus du noyau dur de l’État rwandais de réintégrer les exilés Tutsis, objet de la guerre civile Rwandaise de 1990-1993, opposant le gouvernement Rwandais constitué de Hutus soutenu par la France (Opération Noroît) au FPR (Front Patriotique Rwandais) favorisant les Tutsis exilés à retourner dans leur pays.
L’assassinat du président Rwandais le 6 avril 1994 déclenche le génocide des Tutsis par les extrémistes Hutus. L’ONU par sa commission d’enquête mandatée, estime qu’environ 800 000 et d’autres sources jusqu’à 1 million de Rwandais en majorité Tutsis ont perdu la vie durant ces trois mois à cent jours. Ceux qui parmi les Hutus se sont montrés solidaires des Tutsis ont été tués comme traîtres à la cause Hutu.
Au début de 1998, les attaques de l’UÇK-(Armée de Libération du Kosovo, formée au début de 1990 pour lutter contre la persécution Serbe des Albanais du Kosovo)- contre les autorités Yougoslaves du Kosovo se traduisent par une présence accrue de forces paramilitaires Serbes et de forces régulières qui commencent par la suite à mener une campagne de représailles contre les sympathisants de l’UÇK et les opposants politiques; cette campagne tue de 1500 à 2000 civils et combattants de l’UÇK.
Le 20 mars 1999, les forces Yougoslaves lancent une campagne massive de répression et d’expulsions d’Albanais du Kosovo à la suite du retrait de la Mission de vérification au Kosovo de l’OSCE (KVM) et de l’échec de la Conférence de Rambouillet. En réponse à cela, l’OTAN intervient avec une campagne de bombardements aériens qui commence le 24 mars, la justifiant comme une *guerre humanitaire*.
Plus de 13 500 personnes ont été tuées ou ont disparu au cours du conflit.
Les forces yougoslaves et serbes ont provoqué le déplacement de 1,2 à 1,45 million d’Albanais du Kosovo.
Après la guerre, environ 200 000 Serbes, Roms et autres non Albanais ont fui le Kosovo.
La Serbie est devenue le foyer du plus grand nombre de réfugiés et de personnes déplacées en Europe. Les bombardements de l’OTAN controversés car non approuvé par le Conseil de Sécurité des Nations Unies et ayant causé la mort d’au moins 488 morts parmi les civils Yougoslaves y compris un nombre substantiel de réfugiés Kosovars. Certains rapports donnent 1000 victimes militaires au sein de l’UÇK, cependant les pertes militaires de l’Armée de libération du Kosovo sont difficiles à estimer.
Le 11 septembre 2001, des terroristes ont tué près de 3 000 personnes et en ont blessé plus de 6 000 autres lors de la pire attaque principalement contre les deux Tours jumelles (Twin Towers) sur le sol des USA. Respects à la mémoire de celles et de ceux qui ont péri à New York, à Arlington, en Virginie, et à Shanksville, en Pennsylvanie.
Durant ces dernières années au 21e siècle, plus de 395.000 Afghans ont été déplacés par le conflit, selon le ministère des Réfugiés et du Rapatriement. Les États-Unis ont payé le plus lourd prix à la guerre, avec plus de 2.400 soldats tués et 20.700 blessés.
454 Anglais, 157 Canadiens, 80 Français tués ainsi que 32000 à 60000 Afghans civils, militaires non révélés.
500 000 morts en Irak sont recensés contre 4500 Americains tués de 2003 à 2011-2020.
Plus de 8 000 milliards de dollars américains : voilà le coût estimé pour les États-Unis des guerres engagées en Afghanistan, en Irak et ailleurs au Moyen-Orient depuis les attaques terroristes du 11 septembre 2001. Ces conflits ont aussi fait entre 897 000 et 929 000 morts en totalité.
Du côté américain, 7 052 soldats et 8 189 sous-traitants de l’armée ont perdu la vie dans les guerres du Moyen-Orient — en gros, deux fois plus en Irak qu’en Afghanistan. Treize marines américains parmi 182 morts sont identifiés le 26 août 2021 dans un attentat-suicide contre l’aéroport de Kaboul. Un combattant de l’Etat Islamique, cerveau de cette attaque, fut éliminé par les Talibans. Et, selon le bureau américain des vétérans, environ 3 000 anciens combattants des guerres d’Irak et d’Afghanistan se sont suicidés depuis 20 ans. Les alliés des États-Unis ont aussi payé le prix de ces conflits, dont le Canada avec 157 morts.
Le rapport du projet Costs of War estime qu’au moins 387 072 civils et 301 933 combattants ennemis ont été tués lors des opérations militaires américaines au Moyen-Orient. Un bilan auquel il faut ajouter 892 travailleurs humanitaires et 680 journalistes.
« L’Afghanistan n’est pas que le tombeau des empires : ce fut aussi la tombe des Afghans »
Le reste des effets de la guerre -comme les impacts sur des millions de proches des soldats tués- toujours entreprise pour éliminer des gens et détruire des infrastructures, selon la définition classique, ne sont pas comptabilisés. Les guerres précédentes ont peut-être fait plus de morts américains — plus de 50 000 au Vietnam seulement — et les conflits en Afghanistan et en Irak ont brisé plusieurs vies.
900 000 morts et 8 000 milliards de dollars US : le coût des guerres américaines au Moyen-Orient.
La première guerre civile ou révolution libyenne dans le contexte de protestations et revendications socio-politiques des pays arabes, à l’instar de la Tunisie et de l’Égypte, est un conflit armé à l’origine de l’intervention militaire de l’OTAN, de la France, du Royaume Uni, des USA, de la Turquie, du Canada, de la Belgique, de l’Italie… qui s’est déroulé en Lybie entre le 15 février et le 23 octobre 2011.
Il y eut le président régnant depuis 42 ans Mouammar Khadafi entouré de ses fils, avec 50 000 membres des Forces armées et la Jamahiriya arabe libyenne se défendant contre près de
200 000 soldats du Conseil national de transition (Armée de libération nationale, Forces aériennes de la Lybie libre, Front Toubou pour le salut de la Lybie), de l’OTAN, des USA, de la France, du Royaume Uni, de la Turquie, du Canada, de la Belgique, de l’Italie…
L’issue fut la victoire du Conseil national de transition, la chute de la Jamahiriya arabe libyenne et la mort de Mouammar Khadafi avec Khamis et Moatassem, deux de ses fils.
On a 4700 morts dans le camp victorieux et près de 5000 morts chez les vaincus.
Chez les civils, au moins 1166 à 2519 morts.
Dans cette guerre lybienne de 2011, on estime un total
de 10 000 à 30 000 morts.
En 2014, les pertes humaines de la guerre russo-ukrainienne comprennent 6 morts lors de l’annexion de la Crimée par la Russie ;
14 200 à 14 400 morts civils et militaires pendant la guerre du Donbass (2014-2022) et jusqu’à 500 000 victimes civiles et militaires lors de l’invasion russe de l’Ukraine depuis le 24 février 2022.
En septembre 2023, le ministère russe de La Défense confirme la mort au combat de 5 937 soldats russes, 61 207 soldats ukrainiens tués et 49 368 autres blessés. En février 2024, le bilan est de 444 000 tués et blessés. La RPD confirme la mort de 4 163 militaires dans leur rang et 17 329 autres blessés (au 22 décembre 2022). Les forces russes ont subi 110 000 pertes au 28 février 2023 selon des renseignements américains. Au 7 mars 2024 la mort de 46 678 militaires russes est documentée. Les pertes sont supérieures à 90 000 fin février 2024.
Le chef du groupe Wagner Evgueni Prigojine annonce 20 000 mercenaires tués. Il ajoute au total à la fin juin 2023 l’armée russe a perdu 120 000 soldats en Ukraine.
L’Ukraine confirme 10 000 tués et 30 000 blessés et 7 000 disparus dont 5 600 capturés dans ses rangs début juin 2022.
En termes de décès confirmés d’officiers (militaires et paramilitaires) des deux parties à la guerre le nombre est très similaire avec 3 154 officiers russes tués au 14 février 2024 et 3 063 officiers ukrainiens tués au 23 février 2024. Nombre de morts civils ainsi que de morts militaires est impossible à déterminer avec précision.
Du 24 février 2022 - 15 février 2024 selon les Nations Unies il y eut chez les civils 10 582 tués, 19 875 blessés.
Du 24 février 2022 - 27 février 2024 chez les forces ukrainiennes selon le ministère de La Défense Russe il y eut 444 000 tués et blessés.
Du 24 février 2022 au 7 mars 2024 selon l’estimation américaine, il y eut chez les forces russes 350 000 tués et blessés.
Du 7 octobre 2023 au 30 avril 2024, dans le conflit Gaza (Hamas)-Israël ou Israélo-Palestinien, le Hamas de la bande de Gaza envahit par surprise Israël et décima des juifs civils pour la plupart, injustement. Près de 1300-1500 Juifs furent lâchement assassinés et 250-300 Juifs sont capturés.
Selon le Centre d'information palestinien :
Par la réaction violente et virulente de l’armée juive à cette lâche et surprenante agression du Hamas, Il y eut ≈ 34 550 morts Palestiniens ou Gazaouis au moins (dont 40 % d'enfants) au 30 avril 2024.
75 577 blessés au moins (dont plus de 10 000 enfants)
Plus de 4 000 capturés,
8 000 disparus au moins,
1,9 millions de déplacés internes.
En Cisjordanie,
457 morts (dont 117 enfants)
4 750 blessés au moins
7 350 capturés (dont 200 enfants)
Au Sud-Liban,
120 morts (dont :
 au moins 48 membres
14 civils)
30 000 déplacés internes
Attaque en Israël :
1 500 morts au moins, selon Tsahal
Selon les autorités israéliennes :
au moins 1 160 morts (majoritairement des civils, dont femmes et enfants) dont
843 morts civils au moins (dont 30 enfants)
 343 militaires
 59 policiers
 10 agents
5 431 blessés (dont femmes et enfants).
242 capturés (dont 32 enfants)
25 disparus dont 15 étrangers
200 000 déplacés internes
En Cisjordanie,
deux policiers aux frontières morts
treize soldats blessés
Offensive dans la bande de Gaza
251 soldats morts
3 090 soldats blessés
 un civil tué, huit soldats tués et sept blessés
 171 membres de l'UNRWA tués
 9 gardes frontières blessés, six civils blessés
Sur le terrain vague et quelconque des différents champs de bataille, telle se présente crûment la guerre active qui décime entre eux les opposants et des alliés en détruisant sur son parcours des infrastructures importantes : routes, meubles et immeubles. Mais en théorie comment est-elle conçue, structurée, organisée, réglementée, légalisée… cette entreprise guerrière, pour l’améliorer, la moderniser, l’expliciter et l’enseigner aux experts et étudiants dans les écoles et académies militaires ?
La guerre, l’une des actions humaines les plus anciennes, se présentant sous différents types avec à sa base maintes raisons, est un conflit entre deux belligérants ou plus, deux nations ou plus, deux groupes religieux, deux alliances supra-étatiques dans lequel se pratiquent, pour s’entretuer, casser et briser des refuges, des actes d’affrontement meurtrier face-à-face, de violence armée et organisée.
Au XXe siècle, elle a connu une évolution considérable, passant de guerre classique, trop coûteuse en vies humaines et en ressources comme les deux grandes meurtrières, à une nouvelle forme dite moderne selon le nouvel ordre mondial établi. Pouvant être habituellement une offensive de conquête (ou défensive pour le camp agressé) afin d’agrandir son territoire ou pour piller le domaine adverse; elle ne vise pas la destruction de la partie opposée en étant Interétatique ou émanant de deux entités politiques distinctes. La discorde peut survenir à l’intérieur d’une entité politique donnant lieu à une guerre civile, une guerre d’indépendance ou coloniale. Le but visé est alors pour une partie de la population de s’émanciper d’une tutelle jugée trop lourde ou illégitime, et pour l’autre de maintenir l’unité nationale. La guerre révolutionnaire a pour but de renverser le pouvoir politique, jugé arbitraire et liberticide, pour le remplacer par un gouvernement populaire.
La guerre peut aussi être totale, reposant sur des alliances internationales, ayant pour objectif de faire reconnaître une domination politique et idéologique internationale, voire de détruire l’ennemi.
La guerre peut devenir plus complexe pour concerner plus de deux belligérants, comme dans les guerres de religion, non deux entités politiques mais deux groupes religieux pas nécessairement structurés, le groupe des croyants orthodoxes et les autres, les infidèles, les mécréants, les hérétiques. Le but est de convertir à la vraie foi ou d’éliminer les non et mauvais croyants.
Dans la guerre supra-étatique comme les deux conflits mondiaux, ce phénomène armé mobilise toutes les ressources disponibles de l’État, union sacrée entre tous les partis politiques, la nation avec l’ensemble de la société et ses moyens autour de l’armée. Pour affaiblir l’adversaire les belligérants provoquent des destructions combinées civiles autant que militaires.
Se joignent le soutien de tous les secteurs de la population au moyen de la propagande ainsi que des corollaires comme la guerre économique ou la guerre psychologique en vue d’un triomphe militaire effectif.
Selon l’intensité du conflit on distingue la guerre totale (visant la destruction complète de l’adversaire) de la guerre limitée (atteindre un objectif précis). Il y eut des guerres totales dans l’antiquité comme les guerres puniques où lors de la troisième (140-146), l’incantation de Caton l’Ancien « Carthago delenda est » (Carthage doit être détruite - Il faut détruire Carthage) fut suivie à la lettre : la cité fut brûlée, rasée et les survivants vendus en esclavage.
La guerre peut être de durée varaiable, de quelques jours : “ la guerre éclair -la Blittzkrieg, qui a permis à Hitler de conquérir les Pays-Bas en 4 jours, la Pologne en 21 j et la France en 46 j “, à de nombreuses années comme la guerre de Cent ans s’étendant de 1337 à 1453 entre le (dynastie des Plantagenêt contre celle des Valois) Royaume d’Angleterre et celui de la France.
Aux chefs de guerre classiques, se sont de nos jours substitués des seigneurs de guerre plus nombreux et très insaisissables.
L’exemple le plus troublant est celui de l’Etat islamique, l’organisation qui a proclamé le 29 Juin 2014 l’instauration d’un califat dans les territoires irakiens et syriens qu’elle contrôle. Classé comme organisation terroriste et combattue militairement depuis août 2014 par une coalition internationale de 22 pays dont les États-Unis, l’Union européenne, la Ligue arabe ect… et de la Russie. Il s’agit donc d’une guerre inédite contre une entité religieuse et politique autoproclamée qui s’impose par la force. Responsable de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité, de nettoyage ethnique et de genocide, il pratique également la destruction systématique des vestiges du passé multi millenaire, et pour l’instant la coalition ne parvient pas à circonvenir l’action de Daesh malgré les frappes aériennes récentes de la Russie.
Durant les temps anciens, la guerre connaît un processus d’institutionnalisation sous l’égide des cités, un droit de la guerre qui repose sur des règles simples : immunité des ambassadeurs, des prêtres et des non-combatants, ensevelissement des morts, constructions de trophées, partage du buti, organisation de la conquête.
La diplomatie est le premier moyen pour éviter la guerre. Au Moyen Âge l’ambassade envoyée par Charlemagne en 797 est célèbre pour être revenue, 5 ans plus tard, chargée de magnifiques cadeaux (dont un éléphant albinos) offerts par le calife de Bagdag. Au XIIIème siècle, le Devissement du monde rédigé par Marco Polo est considéré comme l’ancêtre des rapports diplomatiques. Elle se professionnalise après le congrès de Vienne de 1815 puis se modernise au XXème siècle. En cas d’échec diplomatique on cherche à limiter la guerre par des lois définissant à la fois le droit à la guerre (jus ad bellum) et ce qui était ou non permis au sein de cette guerre (jus in bello). Les premières traces d’un code de conduite en cas de guerre se trouvent dans le Code d’Hammourabi, du 18e siècle avant notre ère, qui précise que le fort ne doit pas opprimer le faible. Les religions monothéistes contiennent également des règles prônant le respect de l’adversaire et la protection des civils et des vaincus. Dans le Deutéronome figurent des interdictions en temps de guerre de couper les arbres fruitiers, d’empoisonner une source, de détruire les récoltes, de mutiler un homme… etc.
Selon St Augustin d’Hippone, il est permis de guerroyer sous trois conditions : si la cause est juste, si la guerre est menée dans de bonnes intentions, si elle est sous la conduite d’une autorité légale. St Thomas d’Aquin dans la Somme Théologique démontre que la guerre n’est pas toujours un péché. Elle sera juste si elle respecte trois conditions : Elle doit être décidée par l’autorité politique légitime, qui cherche le bien de tous. Elle doit être engagée en vertu d’une cause juste comme, par exemple, se défendre d’un agresseur. Il faut, en outre, que la guerre soit menée selon une bonne intention car il ne suffit pas que la cause soit juste.
Que la guerre soit juste ne veut cependant pas dire qu’elle soit un bien; puisqu’on tue des êtres humains et brise des choses utiles dans l’horreur et l’effroi, elle n’est qu’un mal pour en empêcher un autre qui serait pire. Elle doit par conséquent viser la paix.
Les deux grandes guerres mondiales se sont déroulées sur plusieurs fronts, sur une bonne partie de la planète. Elles ont donné naissance, non à une paix mais à ce qu’on a appelé la Guerre Froide.
Grotius, au 17e siècle, publie le droit de la guerre et de la paix. La guerre juste est conçue comme la poursuite d’un droit par la force armée. Le concept de guerre juste allait évoluer jusqu’à la fin du 18e siècle à celui de guerre régulière.
Pour Rousseau la guerre ne peut être qu’une relation d’État à État. Kant souligne que le « droit à la guerre est pour un État, le moyen licite de défendre son droit contre un autre État même si la raison moralement pratique exprime en nous son veto irrésistible : il ne doit pas y avoir de guerre.»
Au XIXe siècle, la constitution d’un droit de la guerre a lieu en 1863, lors de la guerre de Sécession aux USA, élaborée par le juriste Francis Lieber sur demande du Président A. Lincoln Avec la Conférence sur la paix de la Haye de 1899 apparaît un ensemble de lois sur la guerre. Le droit international des conflits armés recouvre le droit de la Haye ou droit de la guerre, le droit international humanitaire ou droit de Genève dont le gardien est le Comité international de La Croix-Rouge, défenseur des victimes de la guerre, et le droit de la maîtrise des armements. La mise en œuvre des Conventions de Genève relève de la responsabilité des Etats faisant partie d’un conflit.
Seule l’agression place un État en état de légitime défense prévu par la charte de l’ONU et lui permet de réagir. Toutefois la guerre préemptive qui consiste à contrer une agression imminente en anticipant le conflit est considérée comme légitime mais la guerre préventive, qui se justifie par une menace potentielle et susceptible de se concrétiser dans un temps plus lointain, n’est pas considérée comme légitime. Ex. Guerre contre Irak en 2003 légitime pour les partisans et illégitime pour les opposants.
L’armement est passé des épées aux armures, du mousquet aux canons, du char égyptien antique au char moderne avec le canon apparu en 1346 dans la bataille de Crécy opposant Français et Anglais. Durant la bataille de Fleurus en 1794, on se sert de ballons pour espionner les positions ennemies. Arrive ensuite le télégraphe de Chappe qui permet à Carnot de communiquer avec les armées françaises combattant sur les frontières. Système qui perdure après 1815.
Pour tenter de circonvenir la guerre, un droit international s’est mis en place, avec plus ou moins de réussite.
Le droit de la guerre repose sur plusieurs principes. La nation qui veut déclarer le point sur lequel porte le différend et formuler ses revendications; elle doit accepter la médiation d’une tierce nation pour éviter le conflit armé; elle doit déclarer la guerre, et donner un ultimatum avant de commencer une attaque. La première injonction implique d’éviter de tuer inutilement des soldats, de détruire inutilement des ressources, une fois l’objectif de la guerre atteint, et de n’employer que des armes adaptées à ce que requiert l’objectif de guerre.
Il est généralement inculqué aux étudiants et académiciens des écoles militaires que la guerre n’est pas un acte de sauvagerie, et qu’elle ne doit pas donner lieu à des cruautés sans raison, à des actes de violence inutiles : tout n’est pas permis. En cas de succès, il faut s’en tenir aux buts de guerre, traiter avec l’ennemi et accepter la paix lorsqu’on a obtenu satisfaction. La guerre est ainsi un acte loyal : *jus ad bellum et jus in bello*. Le droit international humanitaire se fonde sur un grand nombre de traités, en particulier sur les Conventions de Genève de 1949 et leurs protocoles additionnels.
Les humains constamment en guerre, les uns contre les autres, n’arrivent toujours pas à observer après plus de deux mille ans, chez ceux qui en sont imbus et pourvus, les préceptes de charité et de pardon prônés et enseignés par Jésus-Christ, trop loin d’eux-mêmes peut-être ? Ni à respecter les lois conventionnelles de la guerre légitime ou régulière, ou même l’antique loi du Talion, des conflits (justice pénale), déclarée de nos jours archaïque et barbare par des avocats-experts, criminologues et politiciens… puisque la risposte guerrière est toujours plus meurtrière que l’attaque mortelle subie. Nous sommes jusqu’à date, au 21e siècle, dans la vengeance, tant soit peu édulcorée, malgré certaines normes établies et prescrites au fur et à mesure depuis l’antiquité. Une vérité amère et déchirante du présent ! Gageons que le processus de guerre, entreprise mortifère, toujours faite pour éliminer des gens et détruire des infrastructures fonctionnelles, selon la définition classique, ne changera pas d’un iota.
La loi du plus fort, comme dans le loup et l’agneau de Jean de La Fontaine, est toujours la meilleure.
Au-delà de ces guerres homicides où l’humain exerce ses forfaits et méfaits à l’extrême, on a enregistré au cours du 20e siècle des millions de massacres en *temps de paix* perpétrés particulièrement par quatre chefs d’état ayant effectué tellement de carnages qu’on les a dépeints en monstres sanguinaires, tels :
MAO
Lui, cumule 70 millions de morts en temps de paix dont 35 millions lors de la Grande Famine (1958-1961), conséquence du Grand Bond en avant.
25 millions de chinois sur 50 millions d’internés périrent dans les laogai(camps de travail ou goulags). La grande famine chinoise est souvent considérée comme la plus meurtrière de l’histoire de l’humanité. Les principaux facteurs contribuant à la famine était les politiques du « Grand Bond en avant » (1958 à 1962) et de la « commune populaire ».
70 millions de morts en temps de paix est un stupéfiant record détenu par Mao (1893-1976), "le suprême despote totalitaire".
Le régime qu'il a institué est toujours en place,
Impossible de nier qu'il unifia la Chine et sut incarner pour ce pays naufragé la grandeur retrouvée.
Mais les vingt-sept ans de son règne furent une épouvante. Les purges sanglantes et autres "rectifications" avaient commencé dès les années 30.
Vint le triomphe du 1er octobre 1949, l'exultation. Suivra un enfantement terrifiant. La réforme agraire, les Cent Fleurs, le Grand Bond en avant, la famine (35 millions de morts), un tourbillon d'intrigues sur fond de délations. Mais qu'importait au président-démiurge, qui avait décrété que "donner une pioche, c'est anéantir un impérialiste".
Mis en minorité en 1959, Mao se venge en lançant en 1966 la Grande Révolution culturelle prolétarienne. "Feu sur le quartier général", dit-il. Débute une lutte féroce pour le pouvoir qui aboutira à une véritable guerre civile.
Mao voulait créer "un grand désordre sous le ciel" afin d'engendrer "un grand ordre". Pour le désordre, sa réussite fut totale : fermeture des écoles et des universités, 16 470 000 "jeunes instruits" expédiés à la campagne, vagues de suicides, exécutions, épisodes de cannibalisme.
Ces horreurs étaient, bien sûr, accompagnées d'un culte obsessionnel de la personnalité. Le pays est constellé de statues, un seul livre est autorisé, le fameux "Petit Livre rouge", un recueil de citations de Mao qui ne sont qu'ennui et banalités. On se salue en échangeant des versets de la sublime pensée Mao.
Mao pratiquait une haine ardente pour les intellectuels et les experts.
Un être autoritaire, dominateur qui atteint d'une maladie vénérienne, prétendait se laver dans le corps des femmes. Un paranoïaque obsédé par l'empoisonnement et assoiffé de privilèges.
Dans la Chine unifiée, il voulut inscrire le destin de millions d'individus transformés en "hommes nouveaux".
Il se comparait à Qin Shi Huangdi, le premier empereur (- 259, - 210), le fondateur de l'Empire chinois, qui régna par la terreur et massacra les lettrés.
STALINE
À la fois un intellectuel et un tueur; d’un côté le séminariste devenu le dirigeant russe le plus lettré depuis Catherine la Grande capable de citer aussi bien la Bible que Talleyrand; de l’autre le Gangster du Causase ayant grandi dans une atmosphère de conspiration et de violence mythifiée. « Utilise le diable lui-même si cela sert la révolution.» “La mort résout tous les problèmes. Plus d’homme, plus de problème” aurait théorisé le père de plus de 20 millions de décès prématurés en temps de paix, auxquels il faut ajouter 28 millions de déportations.
Il a ordonné la mort de 15 à 20 millions de personnes, et prenait un malin plaisir (sadisme) à donner ces ordres d’élimination.
« Le plus grand et plus doux plaisir, c’est de choisir son ennemi, préparer son coup, assouvir sa vengeance, puis aller se coucher.»
“L’une des erreurs du tsar Ivan a consisté à ne pas achever les cinq grandes familles féodales”, confie-t-il à Eisenstein, réalisateur du film Ivan le Terrible.
De ces 20 millions de morts dont 11 millions lors de la Grande Famine (1929-1932) provoquée en Ukraine. Un tyran paranoïaque qui déclarait ne faire confiance à personne, pas même à lui.
Son règne fut sanglant et mortuaire jusqu’à sa disparition : parmi une foule de 5 millions d’admirateurs venus saluer sa dépouille, 1500 d’entre-eux périssent étouffés… des sacrifices humains devant sa bière.
HITLER
Avec 25 millions de morts dont plus de 15 millions de Soviétiques par la faim, pendant la guerre et 6 millions de juif emprisonnés aux camps de concentrations, hors des champs de bataille.
Le troisième Reich, qui, selon Hitler, devait durer « mille ans », n'en aura duré que douze mais a provoqué la mort de dizaines de millions de personnes et la destruction d'une grande partie des villes et des infrastructures en Europe. L'ampleur sans précédent des massacres — commis par les Einsatzgruppen puis dans les centres d'extermination de masse — comme le génocide des Juifs européens et des Tziganes, la mort par la faim de millions de civils soviétiques ou l'assassinat des personnes handicapées, auxquels s'ajoutent
les innombrables exactions contre les populations civiles, le traitement inhumain des prisonniers de guerre soviétiques ou encore les destructions et les pillages dont il est responsable, ainsi que le racisme radical singularisant sa doctrine et la barbarie des sévices infligés à ses victimes, valent à Hitler d'être jugé et condamné implacablement.
POL POT
Avec 1/4 des Cambodgiens, soit près de 2 millions de personnes, tués sur ordre de Pol Pot en temps de paix. L’un des plus grand tyrans meurtriers, ce chef historique des Khmers rouges a été le principal responsable du génocide cambodgien de 1975 à 1978 par la déportation de masse, l’esclavage et l’extermination. Frère numéro un était le surnom de Saloth Sar, alias Pol Pot.
Durant l'été de 1984, six ans après la chute de l'un des régimes les plus meurtriers de l'histoire, le mystérieux chef des Khmers rouges, Saloth Sar (1925-1998), mieux connu désormais sous le nom de Pol Pot, alias Pol, Pouk, Hay, Grand- Oncle, "87", Phem, "99" ou Frère n° 1, est réfugié dans la jungle. Il vient d'apprendre qu'il est atteint d'un cancer. Les médecins chinois ayant diagnostiqué chez sa première épouse, Khieu Ponnary, une schizophrénie chronique irréversible, il décide de se remarier et d'avoir des enfants. Lui qui avait tout fait pour détruire
les liens familiaux de l'ancien Cambodge, séparé les enfants de leurs parents et invité ses hommes à différer le mariage jusqu'à la victoire, pour que la pensée de leur femme et de leur famille ne les détourne pas de la lutte, voulut s'assurer une descendance. Là où un Hitler et un Goebbels avaient choisi in extremis de se supprimer avec leur épouse, voire leur progéniture, le Frère # 1, âgé de près de 60 ans, fit appel à un intermédiaire, qui lui envoya deux jeunes femmes d'un bataillon de transport de matériel militaire. L'une d'elles, Meas, était une grande paysanne bien bâtie, qu'il prit à son service comme cuisinière avant de lui faire un enfant, une fille,née en 1986.
Qu'importe si le chef au visage souriant, impassible dans la vie comme dans la mort qu'il donne, continue de procréer. Après 1,5, voire 2 millions, de cadavres, déclinés dans toutes les formes de meurtre et de cruauté, au temps de sa toute-puissance (1975-1978).
Ces dictateurs tyranniques et sanguinaires : “ Mao, Staline, Hitler, Pol Pot ”, auraient voulu former un humain nouveau, issu soit du peuple d’après Mao et Pol Pot, soit d’un ordre militaire selon Staline, ou d’une soi-disant race supérieure pour Hitler. Une vision erronée chez des êtres déments et démoniaques, auteurs des pires ignominies.
Du 20e au 21e siècle on a enregistré des millions de victimes, éliminées et massacrées dans les guerres… et répertorié en temps de paix, des millions de meurtres et de carnages également… moindres peut-être, mais proches du quota des hécatombes guerrières. Le rapport de ce tableau nécrologique inattendu et renversant, retranscrit dans les annales de l’histoire, presqu’autant de meurtres en guerre et en temps de paix, est tout-à-fait surprenant !
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Quelques références bibliographiques :
-Université Juridique Francophone - 2014
-Histoire Générale / Réseaux Numériques
-Journaux d’Actualité