Alexandra Vincent est née à Port-au-Prince à l’époque où le port créait vraiment des princes et des princesses, là ou les Gingerbreads se tenaient comme des châteaux pour développer des esprits libres prêts à s’envoler vers l’autodétermination et les rêves de grandeur.

Elle quitte le pays à l’âge de six ans pour entamer la marche vers des mondes nouveaux ainsi que des cultures apparemment diverses et différentes, qui ne faisaient que l’attacher de jour en jour à cet Haïti chargé de mystères et d’enchantements.

Reçue par le monde des latinos, elle s’installe de premier abord avec sa famille en République Dominicaine, puis en Espagne et finalement aux pays des Aztèques et des Mayas.

Très intéressée à la culture, à l’histoire et aux langues, elle termine sa licence en relations Internationales et aussi obtient des diplômes en traductions ainsi qu’à l’enseignement de langues étrangères. 

Elle collabore avec des institutions prestigieuses comme l’Instituto Tecnológico de Estudios Superiores de Monterrey, campus CCM ; Escuela Superior de Comercio y Administración de Instituto Politécnico Nacional et de l’Université Lasalle entre autres institutions éducatifs. Alexandra publie aussi plusieurs articles avec la revue Macroeconomia.

Une de ses passions est l’étude des plantes et de la Phyto santé. Elle adore la musique, la composition musicale, le chant, la danse, les voyages et la gastronomie.

Après avoir écouté les sons des tambours, Alexandra se laisse hanter par l’idée d’un possible retour aux pays qui fut et qui sera, un jour, la Perle des Antilles. En effet, elle touche le sol de son pays pour y résider en 2016. Elle est témoin de la décadence de sa ville natale où la musique se convertit en sons de bals et la peur devient l’accompagnement de chaque jour. Elle retourne en février 2022 au Mexique et entreprend actuellement une agence de voyage.