CAMEROUN VOLLEY-BALL: CINQ MINEURES ENCEINTES PAR LES DIRIGEANTS DE LA FÉDÉRATION
Aussi dingue que cela puisse paraître, Cinq, c'est le nombre de volleyeuses de moins de 18 ans qui sont tombées enceintes pour les membres de la Fédération Camérounaise de Volley-ball rapporte la presse internationale.
En prélude des Jeux Olympiques Paris 2024, le corps fédéral Camérounais de Volley-ball faire face à un gros scandale. Selon plusieurs médias internationaux, notamment en Afrique, plusieurs joueuses de Volley-ball sont impliquées dans une affaire sexuelle exercée par des dirigeants de l'instance chargée des affaires du Volley-ball en Cameroun.
D'après ce que révèlent les informations, des jeunes filles âgées de 16 à 18 ans victimes d'exploitation sexuelle par les encadreurs. Le Quotidien relate : "Cette affaire fait suite aux accusations graves formulées récemment par une joueuse professionnelle dans une lettre ouverte. Cette dernière avait dénoncé les «droits de cuissage» et les «débauches organisées» par le président de la Fédération, ainsi que les comportements inappropriés de certains coaches," peut-on lire dans un article publié par le journal.
À ce sujet, la Fédération Camérounaise de Volley-ball a discrédité l'information dans un communiqué : « La Fédération Camerounaise de Volleyball légale et légitime, dirigée par monsieur Julien Serge ABOUEM, à l’honneur de porter à la connaissance de l’opinion publique nationale et internationale, que la FECAVOLLEY n’est en rien concernée, dans le tumulte des affaires de mœurs qui foisonnent dans les médias, et spécialement dans les réseaux sociaux.
Il s’agirait de comportements individuels indignes et condamnables de certains imposteurs, qui se réclament d’une certaine Fédération Camerounaise de Volleyball et qui ne trouveront jamais un cadre d’expression à la FECAVOLLEY. Cette dernière qui poursuit harmonieusement son plan de développement », contredit la dite institution.
La Fédération Camérounaise de Volley-ball « invite par conséquent, les parents, les sympathisants, les mécènes, les sponsors et les pouvoirs publics à continuer de lui faire confiance, et de lui apporter le soutien nécessaire à la mise en œuvre des politiques publiques dans le domaine du sport et de l’éducation physique,» a-t-on conclu.