J’avais souhaité que 2020 soit l’année du renouveau dans tous les bons sens. Eh bien non! Je marche sur des épines là où je pensais me promener pieds nus.
J’avais souhaité que 2020 soit l’année du renouveau dans tous les bons sens. Eh bien non! Je marche sur des épines là où je pensais me promener pieds nus.
Les jurons sur 2020 arrivent à mes oreilles comme l’écho d’un sifflet. Les foudres n’en finissent pas : «C’est la pire de toutes les années», «Elle aurait dû déjà se terminer»... Oui, 2020 mérite amplement toutes les merdes que nous pourrions lui coller. Mais, après ces accents de rage, ne pourrions-nous pas essayer de voir 2020 sous un autre côté, du bon côté même, en le transformant en une année d’apprentissage sur soi, sur les nouvelles technologies et une fenêtre ouverte sur d’autres possibilités?
Nous plaindre et nous morfondre ne nous fera pas revenir en arrière ni ne changera l’état actuel des choses. La Covid-19 nous en a donné la preuve. Le virus s’est installé dans notre quotidien et il faut s’adapter à lui.
C’est maintenant le temps de nous secouer ! Un nouvel air est déjà lancé. Un nouvel ordre mondial a pris place avec une économie et un environnement désormais métamorphosés.
Prenons le taureau par les cornes. Trouvons la bonne porte pour rentrer dans la cour des grands parce que c’est là que s’y joue le jeu. C’est dans la cour des grands que les dés sont jetés et que la pièce est lancée en l’air. Ici, le succès et l’échec se côtoient allègrement. Que la pièce retombe sur pile ou face, elle doit nous convenir. C’est ici que se ficellent les grands événements. C’est ici que se charpentent les grands dossiers.
C’est dans la cour des grands que le synopsis s’invente. Refusons d’être de simples figurants, travaillons à tenir les bons rôles. C’est le lieu des grandes réalisations.
Bienvenue dans la cour des grands!