Du 24 février au 3 mars, 7 jours déjà depuis que les bombardements russes ne cessent de ravager l'Ukraine. Notamment la capitale du pays, Kiev. Dans le deuxième round de pourparlers entre les deux camps à la frontière Biélorusse le jeudi 3 mars 2022, une entente est trouvée sur des couloirs humanitaires afin de faire évacuer les civils des zones de combats.

 

Du 24 février au 3 mars, 7 jours déjà depuis que les bombardements russes ne cessent de ravager l'Ukraine. Notamment la capitale du pays, Kiev. Dans le deuxième round de pourparlers entre les deux camps à la  frontière Biélorusse le jeudi 3 mars 2022, une entente est trouvée sur des couloirs humanitaires afin de faire évacuer les civils des zones de combats.

Depuis que Vladimir Poutine a ordonné le lancement des attaques armées contre l'Ukraine la semaine dernière, environ 1 million de ressortissants ont déjà fui le pays. Lors du deuxième round de pourparlers en Biélorussie entre les deux protagonistes, les délégations russes et ukrainiennes se sont entendues sur la mise en place de "couloirs humanitaires" afin d'évacuer les civils encore présents dans les zones de combats.

Par ailleurs, les États-Unis accordent une "protection temporaire" aux Ukrainiens présents sur le sol états-unis en qui doit durer 18 mois d'après le secrétaire à la Sécurité intérieure Alejandro Mayorkas. , et pourrait concerner jusqu'à 30.000 personnes selon des chiffres fournis par CBS.

De l'autre côté , le président du Brésil Jair Bolsonaro et le premier ministre britannique Boris Johnson ont appelé à un "cessez-le-feu" a rapporté jeudi un porte-parole de Boris Johnson à l'issue d'une conversation entre les deux dirigeants sur l'invasion du pays par la Russie. "Le Premier ministre s'est entretenu ce soir avec le président brésilien Jair Bolsonaro de la situation en Ukraine", a indiqué ce porte-parole. "Les dirigeants ont convenu de la nécessité d'un cessez-le-feu urgent en Ukraine et ont déclaré que la paix devait prévaloir", a rapporté une source.

Toujours d'après  cette source,  le président brésilien a jusqu'à présent évité de critiquer la Russie pour son invasion de l'Ukraine. Jeudi dernier, il a désavoué le vice-président Hamilton Mourao qui avait déclaré que "le Brésil n'est pas d'accord avec une invasion du territoire ukrainien". Le chef d'Etat d'extrême droite a déclaré dimanche que son pays "va continuer dans la neutralité" et ne va pas "prendre parti".

Cependant, la ministre des Armées, Florence Parly, interrogée sur la menace nucléaire faite par la Russie, a déclaré que tous les moyens sont mis en œuvre pour maintenir les discussions avec Vladimir Poutine et éviter une attaque de ce type. "Nous faisons tout pour dissuader la Russie de poursuivre dans la voie qu'elle s'est choisie", a-t-elle lâché en précisant "La Russie n'est pas menacée, mais elle doit savoir que si elle attaquait, elle trouverait des alliés unis".

Il faut souligner que les Tchèques seraient autorisés à défendre l'Ukraine s'ils le veulent: "Nous pouvons garantir l'immunité au moyen d'une grâce présidentielle", a déclaré le Premier ministre Petr Fiala à la presse à la suite d'une rencontre avec le président Milos Zeman.

La loi punit de peines allant jusqu'à cinq ans de prison les Tchèques qui combattraient dans les rangs d'une armée étrangère. Ils doivent le cas échéant demander une autorisation spéciale au président. Quelque 300 demandes en ce sens auraient déjà été déposées, et une centaine auprès du ministère de la Défense. L'Ukraine a lancé dimanche un appel aux étrangers pour qu'ils l'aident à repousser l'invasion russe lancée le 24 février.

 

A propos de

Mikenson Merzil

Mikenson MERZIL de nationalité haïtienne, né le 10 janvier 1995 à Boutillier. Monoparentale, unique enfant de sa mère Delcina MERZIL.  A fait ses débuts à l'école primaire au collège Cœur des Anges de Boutillier et sa classe de fin d'études classique à l'Institution Mixt…

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