Alors que la XXXIIIe olympiade touche à sa fin dimanche dans la capitale française, la prochaine destination des Jeux est officiellement reconnue par le Comité International Olympique qui a passé le drapeau à la ville américaine. Une XXXIVe édition qui suscite déjà les doutes chez les Médias américains.
La ville de Paris a épaté le monde entier de par son organigramme lié aux Jeux Olympiques 2024. Une organisation saluée par la presse américaine après la cérémonie de clôture à linstard du Los Angeles Time qui croit qu' «Aucune autre ville au monde ne peut faire ce que Paris a fait».
Si c'est vrai les américains ont félicité Paris pour son JO, ils n'ont hésité à critiquer l'annonce de l'édition de 2028 faite par la ville hôte après avoir s'emparer du drapeau olympique. En dehors de la décente en rappel spectaculaire de Tom Cruise depuis le toit du Stade de France, les performances américaines sont largement critiquées. Le spectacle d'avant goût des Jeux de Los Angeles 2028 diffusé sur les écrans géants du Stade de France n’a pas convaincu la presse américaine.
En effet, Catherine Porter sur un direct publié sur le site du New York Times , depuis le Stade de France a commenté : «C'est déprimant de regarder un film avec 70.000 personnes dans un stade, même si c'est Billie Eilish.» Sa consœur Jenny Vrentas est allée plus loin, elle a jugé que ce court-métrage «étrange», «filmé à des milliers de kilomètres de là a vraiment gâché l'ambiance» au Stade de France.
Le New York Times qualifie la scène d'une sérieuse déception: «Après toutes les images de la France - la Tour Eiffel, Versailles - déplacer les débats dans une cabane sur la plage peinte avec “LA28” est une sérieuse déception», a dénigré sans langue de bois la journaliste Sarah Lyall.
Paris est imbattable d'après le Los Angeles Time «Aucune autre ville au monde ne peut faire ce que Paris a fait au cours des trois dernières semaines. Les Jeux olympiques de 2024, avec leurs attributs classiques et leur beauté visuelle infinie, ont posé une question importante : comment Los Angeles peut-elle surpasser cela ?» s'interroge le journal.