La vie déverse le flot de ses multiples énergies dans un cycle où la source tient sa source d’une source qui elle aussi la détient d’une autre source et ainsi de suite.
La vie déverse le flot de ses multiples énergies dans un cycle où la source tient sa source d’une source qui elle aussi la détient d’une autre source et ainsi de suite. L’inconnu nous aspire et nous confond tous. Cependant, au-delà de notre compréhension, miroite un point d’inspiration que nous aimons évoquer chaque fois que certaines explications nous manquent.
Cela dit, la naissance d’un individu est une bataille que le concurrent a gagnée grâce à sa détermination face à des milliers de compétiteurs. De plus, est-il remarquable de signaler que les autres n’ayant pas atteint cet espace vital, fertile et hospitalier ont tous péri. C’est donc un combat à mort pour la vie.
En d’autres termes, c’est une victoire que l’homme remporte en se matérialisant sur cette planète. Et, l’Homme Haïtien n’est pas exempt de cette circonstance. Lui reste-t-il à devenir humain et ange plus tard? Là, c’est une autre histoire.
Sur terre arrivé, le vivant, peu importe sa nationalité, a gagné une manche d’une longue série de luttes et libre à lui de maintenir ce même empressement pour tirer son épingle du jeu. Est-ce là aller trop loin que d’inculquer aux Haïtiens à ne pas s’en remettre aux autres en ce qui concerne leur salut. Haïtiens, frères Cayens, soyons sur nos gardes, veillons au grain.
Parfois, la tendance semble vouloir pousser au négativisme tout ce qui existait avant 1804 comme si, précédemment, toute l’histoire du monde était de la frime. Que cosa ! L’esclavage avait surgi bien avant la traite des noirs en 1492. La simple existence de l’homme repose sur une suite de conquêtes et de défaites. Jamais il n’est trop tard pour se reprendre en charge. D’autres peuples s’étaient fait opprimer à un moment de la durée. Ils se sont réveillés à point nommé et ont repris le train de la civilisation. N’avons-nous pas occupé la Dominicanie pendant une longue période ? Pourtant, nos voisins ont pris les mesures nécessaires pour ressusciter et restructurer l’âme de leur pays.
Chers compatriotes, on ne s’arrête pas en chemin. La vie est un phénomène rebelle. Nous devons la soumettre au moyen d’efforts continus versés dans l’éducation et dans l’instruction. Les résultats obtenus diront haut et fort si nous prenions la pause ou si nous étions à exécuter convenablement les données inhérentes aux méthodes d’application en vigueur.
Moi, je suggère l’honnêteté. Choisissons la bonté et soyons vrais. Plus de faux-semblant. Les principes étant les mêmes pour tout un chacun, remettons-nous au travail et l’avenir dira le reste.