Dans un courrier daté du 23 janvier 2022 envoyé à l'Institut des Dominicaines du Saint-Esprit, le pape François a manifesté sa reconnaissance à propos des "défaillances" de la Curie de Rome à l'égard des Dominicaines du Saint-Esprit qui ont leur siège mère à Berné, dans le Morbihan. Une décision liée surtout au fait que dans les années 2012-2013, plusieurs religieuses avaient dénoncé des "violences physiques et psychologiques" survenues lors de séances d'exorcisme qui avaient été l'œuvre d'un prêtre traditionaliste.

Dans un courrier daté du 23 janvier 2022 envoyé à l'Institut des Dominicaines du Saint-Esprit, le pape François a manifesté sa reconnaissance à propos des "défaillances" de la Curie de Rome à l'égard des Dominicaines du Saint-Esprit qui ont leur siège mère à Berné, dans le Morbihan. Une décision liée surtout au fait que dans les années 2012-2013, plusieurs religieuses avaient dénoncé des "violences physiques et psychologiques" survenues lors de séances d'exorcisme qui avaient été l'œuvre d'un prêtre traditionaliste.

D'après les révélations faites par le quotidien Lacroix, à la suite de l'arrêt de fonctionnement des Dominicaines du Saint-Esprit depuis une décennie, le pape François a envoyé à l'Institut des Dominicaines du Saint-Esprit une lettre en vue de leur présenter officiellement des excuses à propos des dénonciations qu'elles ont faites à la suite d'exorcisme exercé sur ces dernières, également concernant des enquêtes controversées menées à l'intérieur de la communauté de Pontcallec.

Le courrier du chef de l’Église catholique est survenu parce qu' en 2010, la curée générale de l'époque envisagea de faire canoniser le fondateur de l'Institut, l'abbé Berto (1900-1968), selon Lacroix (figure vénérée dans le monde traditionaliste" , proche de "l'Action française". Une décision qui n'a pas plu à certaines religieuses qui ont fait état de "gestes équivoques" du fondateur vis-à-vis  d'elles. Pourtant une enquête menée par la commission "Ecclesia Dei" a blanchi l'abbé Berto, mais "Ecclesia Dei" a été supprimée par le pape en 2019. Il y a eu aussi en 2010 l'exorcisme pratiqué surtout contre des novices en formation, dont plusieurs ont ensuite dénoncé des "violences physiques et psychologiques".

Par ailleurs, le pape, dans son courrier daté du 23 décembre, a reconnu les défaillances communiquées par les Dominicaines du Saint-Esprit. L'institut a mentionné, à travers le siège apostolique, qu’il n'avait pas encore de structure "adéquate". Le pape a fait état de "défaillances" survenues de certaines instances de la Curie pontificale, et présenté ses excuses à l'Institut en reconnaissant que l'accompagnement des adultes "victimes d'abus" en 2012 a été défectueux.

Le Saint-Père a précisé tout de même que la "réhabilitation" du fondateur de l’Institut, le père Victor-Alain Berto, que la commission "Ecclesia Dei" voulait canoniser, "ne peut pas être maintenue sans nuances" à cause des éléments mis en lumière par d'autres enquêtes internes.

Dans un courrier daté du 23 janvier 2022 envoyé à l'Institut des Dominicaines du Saint-Esprit, le pape François a manifesté sa reconnaissance à propos des "défaillances" de la Curie de Rome à l'égard des Dominicaines du Saint-Esprit qui ont leur siège mère à Berné, dans le Morbihan. Une décision liée surtout au fait que dans les années 2012-2013, plusieurs religieuses avaient dénoncé des "violences physiques et psychologiques" survenues lors de séances d'exorcisme qui avaient été l'œuvre d'un prêtre traditionaliste.

D'après les révélations faites par le quotidien Lacroix, à la suite de l'arrêt de fonctionnement des Dominicaines du Saint-Esprit depuis une décennie, le pape François a envoyé à l'Institut des Dominicaines du Saint-Esprit une lettre en vue de leur présenter officiellement des excuses à propos des dénonciations qu'elles ont faites à la suite d'exorcisme exercé sur ces dernières, également concernant des enquêtes controversées menées à l'intérieur de la communauté de Pontcallec.

Le courrier du chef de l’Église catholique est survenu parce qu' en 2010, la curée générale de l'époque envisagea de faire canoniser le fondateur de l'Institut, l'abbé Berto (1900-1968), selon Lacroix (figure vénérée dans le monde traditionaliste" , proche de "l'Action française". Une décision qui n'a pas plu à certaines religieuses qui ont fait état de "gestes équivoques" du fondateur vis-à-vis  d'elles. Pourtant une enquête menée par la commission "Ecclesia Dei" a blanchi l'abbé Berto, mais "Ecclesia Dei" a été supprimée par le pape en 2019. Il y a eu aussi en 2010 l'exorcisme pratiqué surtout contre des novices en formation, dont plusieurs ont ensuite dénoncé des "violences physiques et psychologiques".

Par ailleurs, le pape, dans son courrier daté du 23 décembre, a reconnu les défaillances communiquées par les Dominicaines du Saint-Esprit. L'institut a mentionné, à travers le siège apostolique, qu’il n'avait pas encore de structure "adéquate". Le pape a fait état de "défaillances" survenues de certaines instances de la Curie pontificale, et présenté ses excuses à l'Institut en reconnaissant que l'accompagnement des adultes "victimes d'abus" en 2012 a été défectueux.

Le Saint-Père a précisé tout de même que la "réhabilitation" du fondateur de l’Institut, le père Victor-Alain Berto, que la commission "Ecclesia Dei" voulait canoniser, "ne peut pas être maintenue sans nuances" à cause des éléments mis en lumière par d'autres enquêtes internes.